Piercings

Les piercings visages

La famille des « faciaux » regroupe la multitude de parties du visage pouvant être percées. Elle inclut les piercings du lobe de l’oreille et de la narine, les plus répandus, mais aussi de la bouche (lèvres, langue et pourtour de la bouche), de l’arcade et enfin de nombreuses autres zones de l’oreille (conque, hélix, tragus, etc.) ou du nez (bridge et septum).

Piercing oreilles

Piercing hélix et écarteur

Outre le lobe, connu de tous, quasiment toutes les zones de l’oreille peuvent être percées : conque, hélix, lobule, tragus, en particulier. Mais où sont donc situées toutes ces zones aux noms exotiques ? Voici les plus connues des amateurs de piercing :

  • Lobe : Le piercing le plus répandu au monde a une véritable histoire ; siège de croyances et superstitions diverses, il indiquait parfois aussi le statut social élevé de celui qui le portait. Les plus underground, « flesh tunnels » (agrandissement du trou percé dans le lobe pour créer un « tunnel de chair », littéralement), trouvent aussi leur source dans des rituels de tribus sud-américaines et africaines (trous progressivement élargis par le port de bijoux de diamètre croissant).
  • Conque : Cavité de l’oreille externe où prend naissance le conduit auditif.
  • Hélix : Saillie bordant le pavillon de l’oreille en avant, en haut, puis en arrière, elle est composée de cartilage.
  • Tragus : Saillie triangulaire du pavillon de l’oreille, placée en avant du conduit auditif externe.

Piercing Nez

Piercing nez discret

Comme pour l’oreille, un des piercings du nez est très fortement développé dans le monde entier : le piercing de la narine. Il existe toutefois deux autres zones du nez populaires dans le milieu du piercing : le septum et le bridge.

  • Narine : Originaire du Moyen-Orient, ce piercing naît il y a plus de 4000 ans et connaît son plus grand essor en Inde dès le 16e siècle : adopté par les castes élevées, il devient un symbole social. Récupéré par la culture hippie dès les années 1960, il est adopté par le mouvement punk dans les années 1980 et finit par devenir extrêmement populaire dans le reste du monde à la fin du 20e siècle.
  • Septum : Effectué dans la cloison centrale du nez, ce piercing existe aussi depuis longtemps : les Papous de Nouvelle-Guinée y portaient un bijou en os ou en bois.
  • Bridge : Zone située au-dessus du nez, entre les deux yeux, le bridge peut être également percé.

Piercing Arcade

piercing d’arcade surculière

Ce piercing est en général pratiqué sur la partie inférieure des sourcils, dans l’axe de son choix. Il peut être assimilé à un piercing de surface tant il est difficile de prévoir ou pas un rejet. Il ne peut être effectué sur une arcade plate (le bijou créerait trop de tension sur la peau et entraînerait un rejet).

Auteur

digital@tarawa.com

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